De la prévention à la guérison, comment prendre soin des blessures du hockey sur gazon ?
Ce n’est qu’une écorchure, ce n’est pas ça qui va m’arrêter ! Vous êtes au milieu d’un entrainement, vous tombez, et vous vous égratignez le genou. Ça vous arrive souvent, alors quand bien même ça brule un peu, vous vous relevez et vous reprenez, comme si rien ne s’était passé. À vos yeux, c’est tellement peu grave que c’est tout juste si vous passez un coup d’eau sur votre éraflure. Mais est-ce vraiment une bonne idée de traiter tous les bobos du hockey sur gazon avec autant de légèreté ? Pourquoi et comment prendre soin de vos blessures, même petites ?
Pourquoi ne faut-il pas négliger les bobos du hockey sur gazon ?
Le hockey sur gazon est un sport complet. Il demande de très solides capacités cardiovasculaires, pas mal de force et de la souplesse. Joueuses et joueurs doivent allier agilité, endurance et explosivité. Cette discipline, technique et exigeante, impose du stress au corps pendant les matches, mais aussi lors des entrainements. Les chutes, les coups et les chocs font partie du fun, c’est vrai. Les ampoules, les écorchures, les bleus et les tendinopathies font quasiment partie du quotidien. Mais ne pas s’en occuper peut impacter les résultats de votre prochain match. Une abrasion peut-être bénigne. Cependant, si elle n’est pas soignée correctement, elle génère des douleurs. Elle est inconfortable. Elle cicatrise moins vite et moins bien. Elle gêne la mobilité. Au mieux, elle diminue un peu le plaisir de jouer, et au pire, elle altère la technique. À la fin, ce sont vos performances qui en pâtissent. Tim Lamens, préparateur physique de l’Herakles témoigne : « En tant que physiothérapeute, je soigne les blessures qui impactent les joueurs, quelles qu’elles soient. Abrasions et éraflures, petites ou grandes, profondes ou superficielles, ont parfois du mal à cicatriser. Elles peuvent entrainer des restrictions de mouvement en fonction de l’endroit du corps ou elles se trouvent. » Les petits maux du hockey sont donc un véritable défi, dont il faut se préoccuper avec le plus grand sérieux.
Prévenir et apaiser les blessures pour améliorer vos performances.
De la prévention à la guérison, les blessures ne sont pas une fatalité, si on adopte quelques réflexes simples. La première étape est de choisir son matériel avec soin. De la crosse en passant par les gants, les protections, les tenues ou les chaussures, tout doit être adapté à votre taille, à votre morphologie et à votre pratique. Les frottements d’équipements mal ajustés provoquent des brulures et des ampoules dont on se passerait bien. Jouer avec une crosse trop grande ou trop petite impacte la posture, augmentant ainsi les risques de douloureuses tendinites.
L’échauffement est incontournable pour limiter la survenue de claquages et d’élongation. En amorçant une stimulation progressive des muscles et des articulations, il prépare le corps à l’effort en activant la circulation du sang et l’élasticité des tendons.
Quand la blessure advient sur le terrain, prenez le temps de la traiter. Si l’épiderme est altéré, nettoyez et séchez la plaie soigneusement. Appliquez ensuite un soin qui aidera votre peau à se régénérer. La gamme de soin RGENTec ne se contente pas de procurer une sensation d’apaisement immédiat. Formulée avec des RGTA, une innovation brevetée et de l’acide hyaluronique, elle maximise les processus d’autoréparation de l’épiderme. Les tissus cicatrisent mieux et plus vite, jusqu’à recouvrer leur architecture d’origine.
Tim Lamens a essayé le sérum After Sport Ritual avec les joueurs de son équipe. «C’est Amaury Keusters, ex-Red Lions et figure de proue de l’équipe, qui m’a fait découvrir le sérum After Sport Ritual. Ce soin révolutionnaire permet aux blessures de guérir plus rapidement. Nous l’avons testée et en 24 heures, nous avons constaté une amélioration spectaculaire de la cicatrisation. Les joueurs ont pu retrouver leur liberté de mouvement.»
Enfin, ne négligez pas la récupération. En fin de match ou après l’entrainement, votre corps doit se remettre de multiples microtraumatismes. Pour les apaiser, rien ne vaut l’automassage : en 10 minutes, il réduit les effets des cytokines, une protéine impliquée dans la communication intercellulaire lors de la réaction inflammatoire. Il aide les cellules à produire plus de mitochondries, une substance qui accélère le processus de guérison des microlésions. La texture crémeuse du baume Bye Bye Burn est idéale pour votre routine de récupération, notamment sur les zones où la peau a été abimée. Quant à l’embout du roll on Shock and Roll, il a été spécialement imaginé pour le massage des inconforts situés près de vos articulations.
Prendre soin de ses blessures, toutes ses blessures est un investissement au service de vos performances autant que de votre plaisir de jouer. Ne négligez plus vos éraflures, brulures et autres abrasions : vous verrez la différence !